mardi 10 juin 2014
Appel à la grève des EOS le 17 Juin 2014
Collectif national des Equipes d’Orientation Spécialisée de Pôle Emploi
En grève et dans l’action le 17 juin
Les négociations sur la nouvelle classification des emplois à Pôle-Emploi devraient se terminer le 24 juin.
Cette classification concerne tous les emplois. Les interventions de la Direction Générale expriment
clairement sa volonté de casse des métiers : le placement, l’indemnisation, l’orientation et la
psychologie du travail, l’appui administratif et technique, l’informatique....
Le référentiel des emplois restreint le nombre de filières, limitant ainsi la prise en compte de la
spécificité propre à chaque métier ou profession, de leur niveau de qualification (faisant par la même
l’aveu de cette non-reconnaissance).
Notre situation - en tant que psychologues du travail - est à ce titre assez explicite de la façon dont la
Direction Générale considère notre profession, et de façon générale les autres métiers d’expertise.
Au quotidien les directions nous empêchent d’exercer notre métier en collaboration avec les conseillers
au service des demandeurs d’emploi. Dans de nombreuses EOS les collègues ont à faire face à un
management basé uniquement sur le comptage des prestations, sans respect des conditions de travail
et d’exercice. Ainsi de nombreux conflits ont émaillé ces 4 dernières années : ici pour obtenir des portes
aux bureaux, là, pour faire respecter la confidentialité des dossiers, et un peu partout pour résister à un
dénigrement malveillant (cf. les réponses aux demandes d’explication sur les refus de promotion après +
de 3 ans !)
Dans la négociation en cours, la Direction Générale remet en cause notre statut de cadre, notamment
pour les nouveaux embauchés. Or la gestion responsable de nos plannings, l’autonomie dans nos prises
de décision, le choix des outils et méthodes utilisés, la prise en compte de la dimension psychique du
sujet et la possibilité de respecter et de faire respecter une déontologie professionnelle, toutes ces
conditions sont parties liées avec ce statut cadre.
Au risque d’un conflit de valeurs, ces règles de métier sont incontournables afin « d’obtenir un
consentement libre et éclairé » des demandeurs d’emploi « basé sur le respect des droits fondamentaux
des personnes, de leur dignité, de leur liberté et de leur protection » (Code de déontologie des psychologues
intégré dans la CCN).
Ces négociations soulèvent aussi des questions sur la formation des psychologues du travail de PE.
L’inexistence d’une réelle formation de prise de fonction pour les nouveaux embauchés, les refus
répétés de DIF pour des formations en psychologie (!), les disparités régionales en termes de veille
professionnelle et l’absence de plan de formation continue depuis 4 ans, sont préjudiciables au maintien
et au développement de notre professionnalisme et menacent à terme l’exercice du métier de
psychologue à Pôle Emploi.
À côté de modalités de recrutement disparates, de règles de mobilité sans visibilité, de conditions de
cotisations à régime de retraite complémentaire différentes et d’indices d’embauche variables, il existe
aussi un véritable manque de visibilité sur les missions que PE confie à ses équipes EOS. C’est pourquoi,
Contacts : collectifpsy@voila.fr et polepsycho@gmail.com
Site : www.polepsycho.com
Réuni-e-s en Rencontres Nationales, les psychologues et ATO des EOS, nous exigeons :
o Le respect de la Convention Collective Nationale et donc
o la confidentialité des entretiens et des dossiers. Nous demandons des bureaux dédiés
et insonorisés pour les psychologues et tous les professionnels dont l’entretien est le
cœur de métier. Il faut donc revoir complètement le référentiel immobilier REPERE
pour les A2S.
o L’accès des demandeurs d’emploi aux psychologues sur la base du volontariat (invités
et non convoqués).
o Le droit au maintien et au développement des connaissances en orientation et
psychologie générale. Un plan de formation spécifique à nos métiers et l’accès au DIF
pour les formations sur les différents domaines de la psychologie.
o Une instrumentation professionnelle validée scientifiquement (tests, épreuves de
connaissances...). Seules 2 ou 3 régions s’en sont dotées (Champagne-Ardenne, IDF...).
o Une identification sans ambigüité de nos services aux DE dans le système informatique
(fonction, lieu d’exercice, numéro Adeli).
o Le rattrapage de l’effectif des équipes EOS au moment du transfert (avril 2010) : nous étions 604
psychologues et nous sommes aujourd’hui autour de 480. De même, les ATO qui ont choisi
d’autres fonctions ne sont pas remplacées ou le sont parfois par des conseillers en transit.
o Le maintien du statut cadre pour les futurs psychologues du travail.
o Le maintien des EOS au sein des A2S et l’arrêt de la dispersion engagée dans certaines régions.
o Une véritable animation technique dans toutes les régions.
o La priorité des recrutements de psychologues aux agents de PE, publics ou privés, titulaires d’un
titre en psychologie.
o Des règles de mobilité nationales, avec des critères objectifs : ancienneté, rapprochement
conjoint muté...
o Arrêt des discriminations sur les promotions. Ce n’est qu’en 2014 que sont tombées les premières
promotions au compte-goutte pour les psychologues !
o L’arrêt de l’évaluation quantitative de l’activité sans préoccupation de la qualité du service rendu
aux demandeurs d’emploi...
Pour cela, nous avons décidé de nous mettre en grève le 17 juin,
avec montée du plus grand nombre au Siège de Pôle Emploi
Notre appel est aussi un appel à la défense de TOUS les métiers dans ce qu’ils ont de spécifiques et pour
une reconnaissance par la DG de ces expertises et de leurs conditions d’exercice.
Un préavis sera déposé par les syndicats qui soutiennent notre action.
Contacts : collectifpsy@voila.fr et polepsycho@gmail.com
Site : www.polepsycho.com
Votre avis nous intéresse
Au travers du blog de la CFDT Pôle Emploi Aquitaine, nous avons souhaité connaître votre avis concernant une éventuelle mise en oeuvre de la dématérialisation des chèques restaurant.
Cette consultation est ouverte jusqu'au Lundi 30 Juin.Nous ne manquerons pas de vous faire connaître les résultats.
Classification : Où en sommes nous ?
Vous
trouverez ci-joint une communication intersyndicale sur l’actuelle
négociation nationale sur la classification des emplois de Pole Emploi.
Communication Intersyndicale
Lors de la dernière séance de négociation (25 mai) : l’ordre du jour proposé par la DG était d’étudier le positionnement des emplois dans les niveaux de classification, c'est-à-dire les positionner dans les catégories professionnelles et dans quel déroulement de carrière.
Pour la CFDT (et la quasi majorité des Organisations Syndicales présentes), cette opération n’est à ce jour pas acceptable tant que des règles claires et opposables ne sont pas définies pour déterminer les passages
de niveaux. Par exemple comment un conseiller passe de l’échelon D4 à E1 (dans la classification actuelle de
245 à 260 ou 250) ?
La DG a annoncé qu’un nouveau texte serait proposé aux OS lors de la prochaine séance de négociation, le 19 juin.
Lors de la dernière séance de négociation (25 mai) : l’ordre du jour proposé par la DG était d’étudier le positionnement des emplois dans les niveaux de classification, c'est-à-dire les positionner dans les catégories professionnelles et dans quel déroulement de carrière.
Pour la CFDT (et la quasi majorité des Organisations Syndicales présentes), cette opération n’est à ce jour pas acceptable tant que des règles claires et opposables ne sont pas définies pour déterminer les passages
de niveaux. Par exemple comment un conseiller passe de l’échelon D4 à E1 (dans la classification actuelle de
245 à 260 ou 250) ?
La DG a annoncé qu’un nouveau texte serait proposé aux OS lors de la prochaine séance de négociation, le 19 juin.
Nous vous tiendrons informés de l'évolution de la négociation...
Pour un syndicat Combatif et Constructif !
Rejoignez-nous en adhérant à la CFDT, plus nombreux, plus fort.
POUR MES DROITS, MES CONDITIONS DE TRAVAIL,
POUR AVANCER ET ME FAIRE RESPECTER
Syndicat.CFDT-Aquitaine@pole-
http://
Remboursement "Allocations Vacances Agent / CE"
Remboursement "Allocations Vacances Agent / CE"
Lorsque vous vous faîtes éditer les billets de train pour votre destination vacances, veuillez vous assurer que votre nom et votre prénom figurent bien en toutes lettres sur votre titre de transport. A défaut faîtes établir une facture acquittée à votre nom.
Si tel n'était pas le cas, le CE serait obligé de vous retourner la demande de remboursement.
Réponse de la Direction suite à notre courrier du 23 Mai relatif au traitement des DAL
"Mesdames, Messieurs,
Suite à
la réunion ordinaire du Comité d’Etablissement du 22 mai dernier, les élus CFDT
ont transmis par mail, à la Présidente du Comité d’Etablissement, comme
préconisé en séance, une question diverse relative au traitement des DALS dont
vous trouverez ci-dessous les éléments de réponse.
Il convient de
souligner que les travaux d’explicitation et d’aide à l’appropriation des guides
ont été menés dans le cadre d’un groupe chantier indemnisation Pôle emploi 2015
et que les propositions de « lecture régionale » formulées par le groupe
chantier ont été validées par le CDR.
Les élus
CFDT indiquent dans cette question que les conseillers gestion des droits sont
confrontés à des « difficultés de traitements de la demande d’allocations depuis
l’application du guide National et régional en date du 1er avril 2014 ».
Il faut
se référer à l’instruction nationale du 4 février 2014 (qui remplace celle du 4
septembre 2013) dont les « Les Guides de l’Indemnisation » sont une annexe
:
« Les
guides nationaux visent à harmoniser les pratiques des directions régionales et
constituent la référence unique dans les domaines qu’ils abordent à
l’exclusion de toute autre pouvant exister notamment dans les intranets
régionaux.
Ils
doivent être mis à disposition en
l’état auprès de l’ensemble des
conseillers. ».
Lors des
présentations aux RRA, de nombreuses interrogations ont été formulées et
relayées à la Direction de la réglementation Pôle
emploi.
Afin de faciliter la
mise en œuvre des guides, d'apporter des
précisions sur les points évoqués
et de faciliter leur
appropriation, le Service SARAP a élaboré, non pas une note
régionale, mais des supports "questions/réponses" à partir, notamment, des
éléments de réponse du national. Ces documents
permettent et facilitent « une liquidation rapide et un paiement au plus juste »
lorsque cela est possible. En aucun
cas, ces documents n'ont
pour vocation d'aménager, voire de simplifier, les règles édictées par
l'Unédic.
Les élus
CFDT font référence dans leur question à la « variation de plus ou moins 20%
entre les salaires dans la période de référence calcul et aucune explication de
l’employeur, il n’y a plus de possibilité de neutraliser les salaires ».
Cette
affirmation renvoi au Guide sur l’aide à la prise de décision Fiche 8 : Calcul
du salaire journalier de référence : « En
cas d’incohérence manifeste entre les salaires (un écart de +/- 20% par rapport
à un salaire habituel peut être un indice d’incohérence), il faut prendre
contact avec l’employeur et tracer formellement ce contact avec un courrier
« confirmation entretien téléphonique » ».
Cette
mesure n'existait pas dans les guides initiaux (sept. 2013) ; elle a été reprise
par le national, à la demande des régions, dans la mise à jour de février
2014.
Cette
disposition nationale vise à calculer le montant de l'allocation au plus juste dans l'intérêt du demandeur
d'emploi.
De plus,
les précisions régionales affinent le processus de
traitement :
Si
l’employeur ne peut être joint et :
-
s'il s'agit d'un écart de plus de 20 % en plus par rapport à un salaire habituel
:
=>
neutraliser le salaire, procéder à une liquidation provisoire avec
DPC.
-
s'il s'agit d'un écart de plus de 20 % en moins par rapport à un salaire
habituel :
=>
ne pas neutraliser le salaire, procéder à une liquidation provisoire avec
DPC.
-
s'il s'agit d'un écart de moins de 20 % en plus ou en moins par rapport à un
salaire habituel :
=>
saisir en l'état (liquidation définitive).
Les élus
CFDT interrogent la direction sur le rôle du conseiller qui « doit téléphoner à
l’employeur qui doit lui faxer les justificatifs… si l’employeur n’est pas
joignable, le conseiller doit tracer cela sur le dossier ».
Cette
disposition est inhérente d’une part au guide sur l’aide à la prise de décision
(Fiche 8 : Calcul du salaire journalier de référence) : « En
cas d’incohérence manifeste entre les salaires (un écart de +/- 20% par rapport
à un salaire habituel peut être un indice d’incohérence), il faut prendre
contact avec l’employeur et tracer formellement ce contact avec un courrier
« confirmation entretien téléphonique » ».
Mais
d’autre part, la confirmation écrite
du contact téléphonique avec l’employeur est préconisée pour d’autres
informations que celles relatives au salaire de référence.
Voir également : Guide
sur l’aide à la prise de décision - Fiche 7 : Dernier Jour Travaillé
Payé.
Les
précisions régionales comportent un « pas à pas » pour que les conseillers
effectuent facilement les opérations techniques dans le SI.
Concernant l’envoi du
courrier en RAR « le conseiller doit tracer cela sur le dossier et envoyer un
courrier en RAR etc…une procédure longue et fastidieuse que les agents
redoutent…). »
« Le
demandeur ne peut pas fournir la dernière attestation employeur. L’agent
s’assure qu’il s’agit d’un manquement de l’employeur et que le demandeur a
effectué les démarches nécessaires pour récupérer le
document.
L’agent
récupère les éléments nécessaires à la détermination d’une rupture effective de
contrat, les bulletins de salaire, le contrat de travail, le certificat de
travail, la justification du manquement de l’employeur.
L’agent
informe M. X de la mise en place de l’AA n° 12 § 4 : liquidation définitive (en
présence des documents justificatifs nécessaires) ou présentation au
délégataire ou à l’IPR (le DE ne peut pas fournir les justificatifs nécessaires)
et dans tous les cas LRAR à l’employeur lui rappelant ses obligations et les
risques de sanction. » (Guide
sur l’aide à la prise de décision - Fiche 1 : Absence d’attestation d’employeur
dans la Période de Référence Calcul).
Cette
consigne nationale consiste à
rappeler, à l'employeur, l'obligation légale de remise de l'attestation
d'employeur.
Les
précisions régionales comportent un « pas à pas » pour que les conseillers
effectuent facilement les opérations techniques dans le SI.
Les
élus CFDT indiquent avoir la « Certitude que les traitements que les conseillers
faisaient avant le 1er Avril (liquidation rapide et paiement au plus
juste) donnaient entière satisfaction aux
demandeurs
d’emploi »
Cette note (Note
Fonctionnelle DCP 014-10 - Procédures d'examen de la complétude et de la
recevabilité, Traitement des demandes d'allocations chômage) qui
indiquait : « Dès
lors que les éléments indispensables au traitement de la demande d’allocations
sont présents, une LIQUIDATION en l’ETAT est systématiquement
réalisée. » n’est plus applicable
en Aquitaine depuis le 31 mars 2014.
Les
précisions régionales n'ont pas pour vocation d'alourdir les procédures
nationales et/ou de "compliquer" la tâche des conseillers lors du traitement des
demandes d'allocations. Elles visent à d’une
part, ne pas laisser un DE sans allocation si un droit peut être ouvert, même en
l'absence d'attestation d'employeur et d’autre part, traiter une demande
d'allocations sans risque de trop perçu lors de la remise des justificatifs
demandés
Les élus
CFDT « ne comprennent pas la mise en place d’une note régionale qui ne fait
qu’alourdir des procédures déjà complexes ».
Afin de
faciliter la mise en œuvre des guides et d'apporter des précisions sur les
questions posées par les RRA, le Service SARAP a élaboré, non pas une note
régionale, mais des supports "questions/réponses" à partir, notamment, des
éléments de réponse du national.
Enfin les
élus CFDT indiquent que « l’incompréhension » et « la colère gagnent les
conseillers gestions des droits lorsque, par exemple un dossier sort « KO » du
contrôle pour absence de caisse de retraite, et bien d’autres « KO » sur des
« incidences » qui n’ont pas d’impact financiers. Les contrôleurs eux-mêmes ne
savent plus « par quel bout commencer ! »
La Direction
Maîtrise des Risques nous a
fait part de l’évolution des modalités de contrôle prévues par la Direction Générale.
La notion de remarque a été supprimée, et un dossier est ou OK,
ou KO, mais ne peut plus être OK avec remarque.
A
l’Assedic, le contrôle a posteriori ne portait que sur l’incidence financière. A
Pôle emploi, le contrôle a posteriori porte aussi sur d’autres risques :
(fraudes par exemple). Dans les nouvelles consignes on demande
notamment :
- Un
contrôle sur le RIB : payer la bonne personne (fraudes, erreurs de
saisie) ;
- Un
contrôle sur les caisses de retraite : permet d’enrichir le passé professionnel
du demandeur dans la caisse de retraite à laquelle il est affilié et donc de
sécuriser son calcul de droit à la retraite.
L’animation conjointe
DT/DR(DMR-GDR) avec « hot line » du SARAP DDO permet de répondre aux questions
des contrôleurs pendant les pools de contrôle.
Les
précisions régionales ont été partagées entre SARAP DDO et DMR pour la cohérence
des contrôles.
En
espérant avoir répondu à vos remarques et vos interrogations.
Vous en
souhaitant bonne réception.
Cordialement,
Pour
Maryse DAGNICOURT-NISSANT (Présidente du CE) /"
|
Virginie
MORISSEAU Direction des Ressources Humaines Région Aquitaine Service Relations Sociales Tél. 05.56.43.60.15 |
Focus sur le traitement DALS suite au CE du 22 Mai 2014
Les élus CFDT suite au CE du 22 Mai ont interpellés la Directrice Régionale du Pôle Emploi Aquitaine
"Madame
La Directrice,
Les
élus CFDT sont sollicités par la grande majorité des conseillers
gestion des droits
qui sont confrontés à des difficultés de traitements de la demande
d’allocations depuis l’application du guide National et régional en date
du 1er avril 2014.
Ce qui aurait dû simplifier les traitements
ne
fait que compliquer la tâche des conseillers, ce qui engendre doute,
perte de temps, perte de technicité, perte de productivité et de
confiance
et qui déclenchent l’insatisfaction des demandeurs d’emploi …
En effet, il devient difficile, au quotidien, de traiter une « simple » demande d’allocations
sans
se poser beaucoup de questions, trop de questions et des questions qui
ne permettent pas de traiter rapidement le dossier ( ex : si variation
de plus ou moins 20% entre les salaires
dans la période de référence calcul et aucune explication de l’employeur, il n’y a
plus de possibilité de neutraliser les salaires ;
le conseiller doit téléphoner à l’employeur qui doit lui faxer les
justificatifs… si l’employeur n’est pas joignable, le conseiller doit
tracer cela sur le dossier et envoyer un courrier en RAR etc…une
procédure longue et fastidieuse que les agents redoutent…).
Les élus CFDT vous alertent sur ces nouvelles modalités de traitement qui ne font qu’augmenter
les visites à l’accueil, créant de l’insatisfaction, de l’incompréhension, du mécontentement voire des clashs….
Le calcul de droits doit se faire au plus juste et dans les règles du régime d’assurance
chômage, mais nous avons la certitude que les traitements que les conseillers faisaient avant le 1er
Avril (liquidation rapide et paiement au plus juste) donnaient
entière satisfaction aux demandeurs d’emploi et nous semble t ils
n’engendraient
pas autant de difficultés et d’erreurs majeures de traitement.
Conscients que les décisions apportées aux dossiers doivent être uniformisées nationalement,
les élus CFDT ne comprennent pas la mise en place d une note régionale qui ne fait qu’alourdir des procédures déjà complexes
et
qui risquent alourdir les stocks dans les semaines et mois à venir
comme nous vous l’avons exprimé lors du CE du 22 mai 2014.
De
plus, de l’incompréhension et de la colère gagnent les conseillers
gestions des droits
lorsque, par exemple un dossier sort « KO » du contrôle pour absence de
caisse de retraite, et bien d’autres « KO » sur des « incidences » qui
n’ont pas d’impact financiers. Les contrôleurs eux-mêmes ne savent plus
« par quel bout commencer ! »
Comptant sur votre diligence pour étudier avec bienveillance les remarques ci-dessus
et dans l’attente de vos réponses.
Cordialement
Compte rendu CE du mois de Mai 2014
Vous trouverez ci-joint plusieurs informations CFDT sur l’actualité du CE Aquitaine du mois de mai avec notamment un point important sur les ASC nationales avec le vote par le CE des prestations agent et enfant qui seront mises en ligne très prochainement sur le site du CE
ainsi que le vote des représentants du CE Aquitaine au CCE de Pole Emploi.
Merci de cliquer sur le lien ci- dessous:
Pour un syndicat Combatif et Constructif !
Rejoignez-nous en adhérant à la CFDT, plus nombreux, plus fort.
POUR MES DROITS, MES CONDITIONS DE TRAVAIL,
POUR AVANCER ET ME FAIRE RESPECTER
CFDT Pôle Emploi Aquitaine
Syndicat.CFDT-Aquitaine@pole- emploi.fr
http:// poleemploicfdtaquitaine. blogspot.fr/
Syndicat.CFDT-Aquitaine@pole-
http://
Inscription à :
Articles (Atom)